Noces de diamant des époux HEIM

Publié par Dominique MULLER le

Récemment, Lucien et Anny HEIM ont eu le bonheur de célébrer leurs noces de diamant. Les jubilaires se sont mariés à la mairie de Saessolsheim le 27 décembre 1960. Le mariage religieux eut lieu le lendemain à Hochfelden, en l’église Saints Pierre et Paul.

De cette union heureuse sont nés quatre enfants : Marc, Pierre, Nicole et Jean qui ont tous fondé leur propre foyer. Ils sont les grands parents de Céline, David, Steve, Fanny, Marie, Delphine, Mathilde, Jules et Joséphine et ont le plaisir de voir grandir deux arrière-petits-enfants : Clément et Céléna.

Lucien, 85 ans, né le 20 juillet 1935 à Hochfelden, benjamin d’une fratrie de 6 enfants, occupe ses journées entre le jardin à la belle saison et la vannerie en hiver. Il s’occupe toujours de sa bassecour. Il a également passé le relais à ses fils pour l’exploitation de la petite parcelle de vigne et des taillis. Il a été un ancien footballeur, c’est d’ailleurs grâce au football qu’il a rencontré Anny à Hochfelden. Il a fait 3 mandats au conseil municipal de Saessolsheim, de 1977 à 1995. Il a commencé sa carrière professionnelle chez Bock Marcel à Saessolsheim en tant qu’aide-maçon avant d’intégrer la société Méteor en tant que chauffeur livreur après son service militaire jusqu’à sa retraite.

Anny, née Mosbach le 19 octobre 1937 à Hochfelden est aussi la benjamine d’une fratrie de 6 enfants. Son père est décédé alors qu’elle était encore enfant. Anny a de ce fait dû participer très tôt à diverses tâches ménagères afin de soulager sa maman.

Elle partage son temps entre un peu de tricot, la cuisine et la pâtisserie toujours très appréciée des petits enfants qui viennent faire le plein de bredele ou lui demander ses recettes. Elle a fait office de nounou pour presque tous ses petits-enfants et continue de se soucier de leur bien être même lorsqu’ils ont quitté le nid familial. Les grandes tablées ne l’effraient guère et constituent encore aujourd’hui parfois son quotidien. Anny était aide-ménagère à Paris pendant 2 ans, travail qu’elle a abandonné à son mariage pour ensuite ne plus se consacrer qu’à sa famille qui n’a cessé de s’agrandir.

Désormais, et depuis une vingtaine d’année, les jubilaires apprécient les joies de leur retraite à deux ainsi que les journées paisibles à domicile, parfois au coin du feu, souvent auprès de leurs enfants et de leurs petits-enfants.

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